6. P. 13, l. 68‐70, « et vous aurez une image imparfaite de ce personnage auquel le jour faible
de l’escalier prêtait encore une couleur fantastique » : dans quelle atmosphère cette remarque
place-t‐elle le lecteur ? En quoi nous informe-t‐elle sur le genre de la nouvelle qui débute ici ?
7. P. 13‐14, l. 84‐102 : quelle figure de style est employée à plusieurs reprises dans la
description du cabinet de Porbus ? Que nous dit-elle de l’attention que Balzac accorde aux
aspects techniques de la peinture dans ce passage ?
8. P. 12‐13, l. 44-70 : quelle différence notable observez-vous entre la description du vieillard
et celle de Porbus ? En quoi pouvez-vous opposer ces deux rencontres successives ? Que vous
laissent-elles présumer pour la suite du récit ?